Que la grâce et la paix de notre Seigneur Jésus-Christ soient avec tout un chacun partout où il se trouve !
Je suis encore une fois heureux de vous convier à cette série de méditation sur les temps derniers, les temps de la fin qui, voulons –nous prouver, par la Parole, sont difficiles.
Je rappelle que le texte de base de notre méditation se trouve en 2Tim3, 1. Nous sommes justement dans l’analyse des concepts clés de ce passage.
Après avoir parlé de ce que signifie bibliquement les derniers jours (qui sont les nôtres comme nous l’avons montré dans les séries précédentes), venons-en maintenant au terme « difficile ».
Avant d’y arriver, souvenez-vous que nous sommes en train de tirer une sonnette d’alarme pour avertir nos contemporains, croyants ou non, que nous devons nous engager sincèrement et sérieusement pour le Seigneur Jésus-Christ si nous voulons jouir, présentement et éternellement, d’une vie heureuse.
Le mot difficile, employé ici en 2Tim3, 1, vient du grec «khalepos au singulier et khalepoi au pluriel» signifiant réduisant la force, difficiles, dangereux, furieux, périlleux, féroces, violents.
C’est cette expression même utilisée en Mat8, 28 : « Lorsqu'il fut à l'autre bord, dans le pays des Gadaréniens, deux démoniaques, sortant des sépulcres, vinrent au-devant de lui. Ils étaient si furieux que personne n'osait passer par là. »
Cette compréhension nous permet de comprendre que les temps que nous vivons sont des temps spirituellement dangereux, féroces, dangereux, périlleux, violents à telle enseigne que la chrétienté devient difficile à vivre de façon authentique et biblique.
Nos jours sont des moments remplis de démons qui affaiblissent la vie chrétienne, raison pour laquelle les chrétiens d’aujourd’hui sont victimes de tiédeur et torpeur spirituelles sans précédents et malheureusement la plupart de ces chrétiens ne se rendent même pas compte de cet état misérable qui est le leur.
Vous comprendrez avec moi que c’est cela qui explique la folie actuelle car ce qui était jadis immoral devient moralement acceptable et normal, ce qui était bibliquement péché hier devient vertu aujourd’hui ! Quelle honte pour le christianisme en général et pour le Chef de l’Eglise, Christ en particulier !
Je voudrais terminer cette série-ci en rappelant à tout(e) lecteur (trice) qu’on ne devrait plus vivre dans la confusion et l’illusion en pensant que notre Dieu aurait changé sa manière de traiter le péché ! Détrompons –nous et cherchons la sanctification sans laquelle personne ne verra le Seigneur (Héb12, 14).
Que Dieu vous bénisse abondamment !
A bientôt !
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