Ne vous mettez pas sous un joug étranger.
Nous vivons des temps très difficile. De moins en mois
nous pouvons estimer de ce que demain sera fait et l'incertitude nous gagne au
vue des événements autour de nous. Une
espèce de paralysie nous envahit et nous ne savons pas quelle position
prendre.
Aurai-je exagéré en disant qu'un climat bruyant cherche à
nous embarquer dans son tourbillon? Il ne nous laisse aucu espace pour nous
exprimer. L’ennemi nous attend au tournant. Il veut nous entraîner dans son jeu.
Le temps du jeu méchant est déjà en cours. Nos compatriotes d’Afrique en savent quelque chose.
En Occident, c'est le problème des refugiés
qui arrivent en masse en provenance du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord
pour la plupart qui est à laune de tous les journaux. Mes collègues, mes amis
en parle et a peur. Personne ne comprend ce qui se passe et surtout pas ce qui
se passera demain.
D'autres phénomènes sous d'autres cieux occupent les gens à longueur
des journées. L'hospitalité est une
recommandation biblique. C'est également un appel. Et c'est à partir de là que
la chose se complique. À chacun de nous un appel est lancé de faire quelque
chose. Non seulement faire mais également dire quelque chose. L'acceuil des
réfugiés est un devoir, la Bible parle de l'étranger qui viendra chez toi. Ici
nous nous rendons compte qu'en tant que croyants nous ne pouvons pas nous
satisfaire de ce que font les autorités. Les autorités sont dictées certes par
l'esprit humanitaire mais elles sont limitées. Elles peuvent être influencées
par des motivations politiques ce qui peut avantager ou désavantager mêmes les
étrangers.
A-t-on songé au jeûne auquel Dieu Lui-même prend plaisir?
"Voici le jeûne auquel je prends plaisir: Détache les chaînes de la méchanceté, Dénoue les liens de la servitude, Renvoie libres les opprimés, Et que l'on rompe toute espèce de joug; Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable." Éasie58,6-7
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