La grâce et la paix de notre Seigneur soient avec vous !
Heureux de vous retrouver encore une fois, je vous invite à cheminer avec moi sur notre méditation déjà commencée il y a quelque temps sur 2Tim 3, 1.
Nous sommes à l’explication du dernier concept-clé de ceux constituant notre verset de base, savoir l’adjectif qualificatif « difficile ».
Nous avons, la fois dernière, compris que le mot « difficile », de par son origine grecque, nous permet de comprendre la férocité spirituelle de ces derniers jours où la force de la plupart des croyants peut être réduite, ce qui affecte négativement la foi, d’où la question même de Jésus en Lu18, 8 : «… Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? »
Suite à ces esprits mauvais d’égarement, nous sommes en train de vivre une période d’apostasie qui tend à se généraliser, « Que personne ne vous séduise d'aucune manière; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant… », 2Thes2, 3.
Théologiquement, l’apostasie peut simplement et brièvement se comprendre comme l’abandon de la vérité, le renoncement de la foi.
Ceci nous permet de comprendre davantage l’esprit d’égarement qui règne actuellement, le mauvais esprit des temps derniers qui amène les masses à apostasier, à renier la foi et par conséquent le Seigneur Jésus-Christ lui- même pour embrasser d’autres idéaux philosophiques et mystiques d’inspiration diabolique.
Les loges sataniques battent le record et sont malheureusement embrassées même dans les cercles qui se disent chrétiens où ces derniers vont jusqu’à trouver même des passages bibliques pour les défendre, de façon tordue évidemment. C’est la triste réalité que nous sommes dans les derniers jours qualifiés de difficiles.
Je suis en train d’écrire ces lignes avec larmes et pitié pour ceux-là qui, tout en professant formellement être chrétiens se sont détournés de la foi authentique.
N’est-il pas temps que tu te ressaisisses et prennes au sérieux l’appel du Seigneur et l’accepte comme ton Seigneur et Sauveur !
Je prie que tu puisses t’engager pour le Seigneur Jésus –Christ avant qu’il ne soit trop tard. Je répète, avant de te quitter aujourd’hui, que demain peut être trop tard. Profite de la précieuse grâce qui t’est faite aujourd’hui !
Que Dieu vous bénisse grandement !
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