Je
vous salue joyeusement au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous
sommes toujours dans notre méditation sur les temps derniers qui
sont difficiles. Cette difficulté s’explique par le fait même
qu’il y a beaucoup de circonstances qui nous causent des soucis
quand on ne décide de se
réjouir dans le Seigneur,
thème sur lequel nous sommes en train de méditer ces derniers
temps. Venons-en aujourd’hui à un autre petit point :
- Impact de la joie sur notre vie et celle d’autrui,« Que votre douceur soit connue de tous les hommes.Le Seigneur est proche. », Phil4, 5.
- Que des foyers, des fiançailles, des relations si chères ont été brisés pour avoir négligé cette recommandation du Seigneur dans ces versets que nous sommes en train de méditer.
En
effet, quand on devient rancunier, on accuse tout le monde :
Dieu et les hommes. Il nous devient ainsi difficile d’être doux
envers les autres, voire envers nous-mêmes. Les murmures deviennent
le lot quotidien de la vie dans un tel contexte. Ceci est une réalité
pour toutes les sociétés de tous les temps et horizons. L’argent,
les honneurs ne peuvent délivrer l’homme d’un tel état triste
et amorphe.
Il
faut simplement choisir de se réjouir dans le Seigneur. Un tel choix
nous allège intérieurement la vie. On a une nouvelle conception de
la vie car c’est lui, Jésus-Christ, la vie, « Or,
la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai
Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. »,
Jn17, 3, qui contrôle notre vie.
On
est littéralement soulagé psychologiquement et spirituellement. La
vie devient douce et n’est plus amère. Au lieu des paroles de
désespoir, ce sont les confessions de foi qui débordent de nos
bouches et même ceux qui nous entourent peuvent aisément en
bénéficier. La joie intérieure devient le partage même de notre
entourage.
Cet
état ne nous épargne pas des efforts à fournir pour relever les
défis de la vie mais nous affrontons la vie avec une force
intérieure et rassurante qui nous fait toujours voir l’impossible
rendu possible par la puissance de Celui qui règne sur nous ;
« Car rien n’est
impossible à Dieu »,
Lu1, 37 devient l’un des slogans de notre vie quotidienne au lieu
des «Ah ! mon
seigneur, comment ferons-nous ? »
de Guéhazi en 2Rois6, 15.
Que
Dieu nous augmente la foi !
FRERE
IYAKAREMYE PROSPER
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire