Les temps de la fin - Série 34

Je vous salue joyeusement au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous sommes toujours dans notre méditation sur les temps derniers qui sont difficiles. Cette difficulté s’explique par le fait même qu’il y a beaucoup de circonstances qui nous causent des soucis quand on ne décide de se réjouir dans le Seigneur, thème sur lequel nous sommes en train de méditer ces derniers temps. Venons-en aujourd’hui à un autre petit point :
  • Impact de la joie sur notre vie et celle d’autrui
    «  Que votre douceur soit connue de tous les hommes.
    Le Seigneur est proche. », Phil4, 5.
  • Que des foyers, des fiançailles, des relations si chères ont été brisés pour avoir négligé cette recommandation du Seigneur dans ces versets que nous sommes en train de méditer.
En effet, quand on devient rancunier, on accuse tout le monde : Dieu et les hommes. Il nous devient ainsi difficile d’être doux envers les autres, voire envers nous-mêmes. Les murmures deviennent le lot quotidien de la vie dans un tel contexte. Ceci est une réalité pour toutes les sociétés de tous les temps et horizons. L’argent, les honneurs ne peuvent délivrer l’homme d’un tel état triste et amorphe.

Il faut simplement choisir de se réjouir dans le Seigneur. Un tel choix nous allège intérieurement la vie. On a une nouvelle conception de la vie car c’est lui, Jésus-Christ, la vie, « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. », Jn17, 3, qui contrôle notre vie.
On est littéralement soulagé psychologiquement et spirituellement. La vie devient douce et n’est plus amère. Au lieu des paroles de désespoir, ce sont les confessions de foi qui débordent de nos bouches et même ceux qui nous entourent peuvent aisément en bénéficier. La joie intérieure devient le partage même de notre entourage.

Cet état ne nous épargne pas des efforts à fournir pour relever les défis de la vie mais nous affrontons la vie avec une force intérieure et rassurante qui nous fait toujours voir l’impossible rendu possible par la puissance de Celui qui règne sur nous ; «  Car rien n’est impossible à Dieu », Lu1, 37 devient l’un des slogans de notre vie quotidienne au lieu des «Ah ! mon seigneur, comment ferons-nous ? » de Guéhazi en 2Rois6, 15.

Que Dieu nous augmente la foi !

FRERE IYAKAREMYE PROSPER

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