En marge du rapport d’Agnès Guillaume publié sur le site Internet : www.afrik.com/article9739.html , Madame Vitraulle écrit ceci :
"Beaucoup d’entre eux(avorteurs clandestins dans les cliniques de rue) utilisent des techniques rudimentaires et extrêmement dangereuses. Ainsi, les femmes acceptent de s’enfoncer des cintres dans le vagin, un tesson de bouteille pilée ou alors, elles demandent à leur compagnon de piétiner leur ventre. D’autres utilisent des produits médicamenteux qui entraînent la mort du bébé et/ou fœtus et laissent des effets secondaires tellement considérables à la mère."
En peu de mots, le tout consiste en l’écrasement de l’enfant avant sa naissance. La vie de la mère en fait les frais dans bien des cas. C’est un véritable drame, il faut bien le dire. Satan, le seul gagnant de ce jeu, se réjouit énormément de voir des personnes mourir avant de connaître Jésus ou n’étant pas en ordre avec Dieu.
Pourquoi donc a-t-elle avorté ?
Elle a avorté parce qu’elle avait peur de perdre son avenir
Elle a avorté parce qu’elle a eu peur d’être rejetée par la société
Elle a avorté parce que personne n’était prêt à l’aider
Elle a avorté parce que tu l’as abandonnée, tu l’as trahie, lâchée
Elle a avorté parce qu’elle manqué de soins, d’assistance médicale
Elle a avorté parce que toi et moi n’avons pas posé le bon geste au bon moment
Elle est décédée parce que personne n’a volé à son secours
Ils et elles sont décédés parce qu’au moment où il le fallait tu t’es tu !
Le monde accuse tandis que la Parole de Dieu enseigne et sauve ceux qui la croient. "Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu."Jean 8:7-9
Notre conscience nous permet de discerner que tuer un bébé volontairement ou par négligeance est une abomination devant Dieu. La complicité est aussi grave que l'acte lui-même. De même que la non assistance d'une personne en danger est un péché.
« Ô Dieu ! Aie pitié de moi dans ta bonté ; selon ta grande miséricorde, efface mes transgressions. Lave-moi complètement de mon iniquité, et purifies-moi de mon péché…
Ô Dieu, Dieu de mon salut ! Délivre-moi du sang versé,et ma langue célébrera ta miséricorde. »
Psaume 51 :3-16
-à suivre Page 3-Par Hilaire Nininahazwe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire