C’est
toujours une grande joie pour de vous retrouver pour partager de ce
pain de vie descendu du ciel qui est la Parole de Dieu. Je vous salue
ainsi en vous souhaitant la bénédiction de notre Seigneur
Jésus-Christ.
Nous
poursuivons notre thème que nous avions commencé précédemment et
qui s’intitule : « La
plus grande promesse »
Reprenons
notre texte d’étude en Jean 14, 1-3 : « Que
votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il
y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était
pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et,
lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une
place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où
je suis vous y soyez aussi. »
Alors
que les gens, sur terre sont troublés et emportés par ce qui ne
plait pas à Dieu, de l’autre côté, au ciel, Jésus nous assure
qu’il y a des demeures qu’il est en train de préparer pour nous.
Il s’agit des palais dont les occupants seront totalement
satisfaits sur tous les plans.
Le
monde où nous vivons est caractérisé par une instabilité
grandissante. Rien n’est rassurant malgré les performances
technologiques qui restent toujours incomplètes ; il y a
toujours des lacunes.
Le
jour viendra, quand la plus grande promesse du retour de Jésus
s’accomplira, où toutes les infirmités et limites liées à la
nature humaines prendront fin avec le glorieux avènement de
Jésus-Christ « qui
transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable
au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir
toutes choses. »,
Phil 3, 21.
Les
hommes pieux d’antan ont toujours et ardemment désiré hériter
de ces palais de gloire « Car
il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu
est l’architecte et le constructeur… Mais
maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une
céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé
leur Dieu, car il leur a préparé une cité. »,
Heb 11, 10, 16.
Qui
ne voudrait pas hériter de la cité où le tsunami, les terroristes,
les séismes et autres fléaux pandémiques n’auront plus place ?
Qui n’aimerait pas vivre dans un monde où la mort n’aura plus la
raison d’être ! Même si ceci semble être ridicule pour
l’orgueilleux scientifiques des derniers temps, c’est pourtant
confirmé dans la Parole de Dieu dont la crainte est le commencement
de la science, Prov 1, 7.
Que
Dieu vous donne la sagesse de s’attendre à l’accomplissement de
cette ultime promesse du retour de Jésus-Christ. Donnez
simplement votre vie à Jésus par la repentance et vous serez de
ceux qui hériteront de ce glorieux avenir !
FRERE
IYAKAREMYE PROSPER.
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