Les temps de la fin- Série 39

Bonjour chers bien-aimés dans le Seigneur !
C’est toujours un privilège pour moi de partager avec vous les pensées de Dieu telles que révélées et consignées dans Sa Parole. Nous sommes toujours en train de parler des temps de la fin où nous avons commencé à réfléchir sur le sens de la piété.

Ainsi, mon sujet d’aujourd’hui s’intitule : la piété, changement de cœur.
En effet, comme nous l’avons vu précédemment, quand on reçoit Christ dans son cœur, il nous change et nous transforme intérieurement. Nous devenons intérieurement des hommes et femmes nouveaux, novelles créatures, « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. », 2Cor5, 17.

Christ, en nous, nous confère sa nature et nous rend capables de vivre et marcher en nouveauté de vie craignant intérieurement Dieu. Tout ce que nous pouvons refléter extérieurement trouve sa source en notre cœur devenu désormais le siège de Christ.
Avec cette piété de cœur, nous vivrons pour plaire Dieu et non plus pour nous plaire, « et qu’il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux. », 2Cor5, 15.
Christ devient la priorité des priorités dans tous les aspects de notre vie. Nous devons dorénavant tout conformer à sa sainte volonté révélée dans les Saintes Ecritures. Pendant la méditation et la prière, il nous communiquera ses pensées, d’où les moments d’être seul avec notre Bien-aimé céleste ne sont pas seulement nécessaires mais plutôt indispensables pour rendre notre marche chrétienne dynamique.

Le grand problème des chrétiens modernes est de vouloir vivre une piété de façade, formaliste qui n’existe d’ailleurs pas. Parlant de la piété dans le Nouveau Testament, un commentateur a dit : « la piété, attitude de l’âme, Ti2, 12, a pour objet Dieu, Heb12, 28, révélé en Jésus-Christ, 1Tim3, 16 ; 6, 3 ; 2Pi1, 3, pour moyen l’effort continu, 1Tim4, 8 ; elle ne peut manquer de porter en l’âme chrétienne ses fruits bénis : promesse de la vie présente et de celle qui est à venir, 1Tim4, 8, contentement d’esprit, 1Tim6, 6, voire garantie contre l’erreur doctrinale, 1Tim6, 3 ; Tit1, 1, de même que dans la vie sociale, 1Tim2, 2, 210, elle est une vertu indispensable, 2Pi1, 6 ; 3, 11, un trésor incomparable, 1Tim4, 8 et, malgré l’opposition des méchants et la persécution , 2Tim3, 12 ; 2Pi2, 9, le grand gain, 1Tim6,6 »

Puisse le Seigneur nous donne à avoir cette piété véritable rare dans la plupart des vies des des derniers temps et celles même des dits chrétiens ! Voulez-vous vous laisser complètement dominé par Christ et faire de lui le centre de votre vie ? Telle est, selon moi, en lisant les Ecritures, la véritable piété ! Que Dieu vous garde et vous aide à opter pour la piété !

FRERE IYAKAREMYE PROSPER

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